Les faciès effacés
En 2200, Reykjavik n’était plus la ville qu’elle avait existé. Entourée d’installations cryogéniques et de laboratoires géologiques, elle abritait dès maintenant des centres de recherches appariant archéologie glaciaire et sciences cognitives. C’est dans l’un de ces immémoriaux abris transformés que vivait un voyant discret, véc